Actu Land Art

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samedi 25 juin 2011

François Abelanet oeuvre monumentale sur le parvis de l'Hôtel de Ville de Paris

«Qui croire?»
La première anamorphose végétale entièrement en 3D de l'artiste François Abélanet dans le cadre de l'évènement "Une saison sous les arbres" organisé par la Mairie de Paris à l'occasion de l'année internationale de l'arbre.

Du 24 juin au 17 juillet 2011.

Après le succès remporté par sa précédente anamorphose intitulée « Où sommes-nous ? » installée l’été dernier dans le parc de Bagatelle, l’artiste François Abélanet créé une œuvre de Land Art urbain inédite, à la fois ludique et interactive, spécialement conçue pour la vaste esplanade de l’hôtel de ville de Paris. Dans la lignée des grands maîtres de l’anamorphose, il a imaginé une œuvre cinétique éphémère qui donne à chacun l’illusion du relief.
Elaboré sur la base d’un dessin très précis calculé sur ordinateur et réalisé grâce au talent des jardiniers et techniciens de la Ville de Paris, un trompe-l’œil saisissant apparaîtra aux yeux des promeneurs. Pelles, râteaux, rayons laser et points GPS s’uniront pour réaliser une écriture contemporaine du jardin à la française. Sans trucages, ni effets spéciaux. En alliant la nature, l’art et les mathématiques.
Le public sera invité à pénétrer dans cette succession de volumes plantés d’herbe, pour s’approprier l’œuvre en jouant avec ses contours et ses volumes, avant de monter sur une estrade installée spécialement et de découvrir, depuis un seul point très précis, la forme monumentale imaginée par le créateur. Grâce à son appareil photo, chacun pourra immortaliser l’installation et emporter avec lui un souvenir de ce moment étonnant.
« Qui croire ? Le réel est-il ce que l’on voit ? Où commence l’illusion ? » s’interroge François Abélanet, créateur de cette anamorphose qui change notre façon de voir, de nous mouvoir dans un espace qui, tout à coup, n’est plus tout-à-fait plat. Ni tout-à-fait vrai. En forçant notre regard à quitter la ligne habituelle de l’horizon, en créant la confusion et nous faisant perdre nos repères, l’artiste nous propose de regarder le monde autrement et de réfléchir à la place de l’homme dans la nature.
Au delà des illusions optiques, c’est bien le miroir de nos certitudes qui se lézarde et laisse transparaître une autre vérité.

www.paris.fr

mardi 10 mai 2011

Nils UDO, rétrospective photographies et peintures

L’Adresse Musée de La Poste propose, du 30 mai au 1er octobre 2011, une rétrospective de l’oeuvre de l’artiste allemand Nils-Udo, comprenant une centaine de photographies de ses installations et des peintures, sur son thème de prédilection : la nature.
« La nature est le thème de ma vie, dit-il, mon art sort de cette expérience ».

Pionnier en Europe de l'art dans la nature, Nils-Udo « guidé par le génie des lieux et les matériaux collectés sur place », fait surgir des plantations, des installations minérales et végétales, souvent éphémères, aux dimensions variables, qu’il compose comme il composerait un tableau, abolissant ainsi la frontière entre l’art et la nature. L’oeuvre achevée, la photographie vient l’immortaliser et lui donner un nouveau statut. « Nids géants », « portes » ouvrant sur l’inconnu, « maisons d’eau », « autels »… retournent à la terre où ils subissent l'érosion du temps.
Exposition présentée en français, en allemand et en anglais.
L'Adresse Musée de La Poste
34 Bd de Vaugirard, Paris 15e
Tél. : 01 42 79 24 24

www.ladressemuseedelaposte.fr

dimanche 20 février 2011

INHA, journée d'étude "Au-delà du Land Art"

Journée d'étude organisée par la revue Marges : www.revue-marges.fr
Vendredi 25 février 2011. 9h15-16h30
Institut National d'Histoire de l'Art, Salle Vasari, 2 rue Vivienne, 75002 Paris (Métro Bourse). Entrée libre.

Le Land Art est une mouvance dont les ambitions étaient notamment de repenser les rapports de la création avec son environnement (naturel et culturel). Si on réduit trop souvent les pratiques concernées à des variations autour de l’art du paysage, le Land Art a pu néanmoins mettre en scène des enjeux beaucoup plus complexes (politiques, économiques, sociaux, écologiques…). Dans le contexte contemporain où les notions de territoires, de frontières, de migrations, d’un développement durable partagé, donnent lieu à des préoccupations communes aux artistes et aux responsables politiques, il semble important de faire le point sur ce que leurs enjeux peuvent rencontrer comme écho dans la création artistique contemporaine.

9H15 : Accueil des participants

9 H 30 : « Isamu Noguchi, précurseur du Land Art, n'a-t-il pas été au-delà? » par Hiromi MATSUGI (Doctorante en Histoire de l’art, Université Paris 8, EDESTA)

10H15 : « L'immersion dans les ruines de Passaic: le rôle créateur de la fiction dans la perception du paysage (topographique). Sur Les Monuments de Passaic de Robert Smithson (1967) » par Anaël MARION

11h Pause

11h15 « Michael Heizer et les risques du sublime technologique » par Serge PAUL (Ecole supérieure d'art d'Avignon)

12h « La marche comme méditation sur le paysage: le cas d'Andy Goldsworthy au Yorkshire Sculpture Park », par Christine VIAL-KAYSER (Conservateur du Musée-promenade de Marly-le-Roi)

12h30-14h Déjeuner

14h « De l’inscription sur le paysage à l’effacement de la trace : trajectoire d’une écologie artistique », par Emeline EUDES (Docteure en Esthétique, Sciences et Technologies des Arts, Université Paris 8)

14h45 « (a)filiations – les pas de Till Roeskens dans les empreintes de Smithson ? », par Anne-Françoise PENDERS (Écrivaine, artiste, docteure en Histoire de l'art, Bruxelles)

15h30 « Pratiques du site, écologie du lieu », par Patrick BARRÈS (Professeur d'Arts appliqués et Arts plastiques, Université de Toulouse 2)

16h15 Discussion finale et conclusion de la journée

Source : Observatoire du Land Art
Merci Marc :-)

mercredi 28 juillet 2010

Anamorphose à Bagatelle

Où sommes nous ? Et si la géométrie décidait de prendre des libertés avec l’espace ? Si tout à coup les tracés défiaient les perspectives, se libéraient des lignes trop nettes et des angles trop droits ? Si le jardin à la française prenait ses aises, et nous avec ?
« Le réel est-il ce que l’on voit ? Où commence l’illusion ? » s’interroge François Abélanet, créateur de cette anamorphose qui change notre façon de voir, de nous mouvoir dans un espace qui tout à coup n’est plus tout à fait plat. Tout à fait vrai.


Une oeuvre interactive. N'oubliez pas votre appareil photo et venez jouer en famille avec la perspective.

Longueur : 120m - Largueur : 16m
Temps de réalisation : 1 mois
Motifs réalisés avec : du blanc d’Espagne, des apports organiques, une coupe régulière (toutes les semaines) de l’herbe sur 2 hauteurs et de 2 volumes de 10 m de long en métal et osier remplis de terre végétale.

Jusqu'au 31 octobre 2010 dans le cadre de l'expo promenade "Regard sur la biodiversité" au Parc de Bagatelle, entrée route de Sèvres, Paris 16e

vendredi 2 juillet 2010

Naturel Brut, parcours Art et Biodiversité

Dans des lieux inattendus de la capitale, des oeuvres inédites proposent aux passants d’appréhender autrement le sujet de la biodiversité, entre éthique, poésie, humour critique et engagement.

Un parcours initiatique, organisé par WWF, ONG de protection de la nature et de l'environnement, le long duquel le visiteur prend plaisir à flâner, du Parc des Buttes-Chaumont au Jardin de Bagatelle, en faisant quelques détours par la Place de la Bourse, le quartier du Marais et d’autres sites à découvrir dès Septembre.

Une multiplicité d’artistes, un seul thème : les services rendus par la nature.

www.naturel-brut.fr/

mardi 15 juin 2010

Christophe Gonnet, sauvagerie de la lenteur

Connu pour ses réalisations in situ, qu’elles soient dans la ville ou dans la nature, Christophe Gonnet s’empare du patio de la maison rouge, pour le transformer en une vaste structure de bois qui sera peu à peu envahie par la végétation. Cette architecture, constituée d’un plancher d’où se dressera une série de volumes surmontée d’une trame aérienne, sera le support d’un environnement en devenir dans lequel le visiteur pourra déambuler ou « prendre racine ». Christophe Gonnet tente de s’emparer pleinement de l’espace du patio pour en détourner la spatialité, les modes d’appréhension par le public et certains aspects architecturaux, en particulier sa relation avec les galeries intérieures Il s’agit d’une proposition simultanément sculpturale, architecturale et environnementale par son rapport au jardin ...
12 juin - 26 septembre 2010 à la Maison Rouge
10 boulevard de la bastille - 75012 paris

www.lamaisonrouge.org

dimanche 13 juin 2010

Regards sur la biodiversité - Parc de Bagatelle

L'exposition "Regards sur la biodiversité", organisée par la Ville de Paris au Parc de Bagatelle , a ouvert ses portes le samedi 29 mai dernier. Ce cheminement artistique inspiré par les rapports complexes entre l’Homme et la Nature intègre une partie de l’exposition « Naturel Brut », le parcours Art et Biodiversité du WWF.

En effet, Bagatelle est la première étape d’une promenade insolite que le WWF a choisi de prolonger tout au long de l’été dans des lieux inattendus de la capitale.

Du Jardin de Bagatelle au Parc des Buttes-Chaumont, en faisant quelques détours par la Place de la Bourse, le quartier du Marais et d’autres sites à découvrir dès Septembre, des œuvres inédites proposeront aux passants d’appréhender autrement le sujet de la biodiversité, entre éthique, poésie, humour critique et engagement.

Les révolutions culturelles précèdent toujours les mutations sociales. L’écologie qui souhaite se faire mieux entendre a donc sollicité le monde artistique pour qu’il rende son combat visible en privilégiant le sensible, l’esthétique et le symbolique.

Proposer des regards nouveaux, telle est l’ambition de cet itinéraire panaché pour nous aider à construire des perceptions nouvelles et à nous affranchir des idées reçues.

Chacune des pièces artistiques nous confronte à nos comportements schizophrènes et souligne nos contradictions, entre l’envie d’une cohabitation pacifique avec la nature et notre obstination à la maltraiter. Pourtant cette même nature satisfait nos besoins élémentaires comme nos aspirations. Banque du vital, elle nous nourrit et nous fait vivre, au sens large.

Si aujourd’hui le monde semble avoir pris conscience de l’érosion de la biodiversité, extinction accélérée des espèces due aux activités de l’homme, reste à comprendre les enjeux de ce désastre écologique, à court et à long terme, pour l’humanité. Puisse cette exposition remplir cette ambitieuse mission et jouer pleinement son rôle d’alerte en révélant à ses visiteurs la valeur de la biodiversité.

Une multiplicité d’artistes, un seul thème : les services rendus par la nature.

Dès à présent et jusqu’au 31 octobre 2010, vivez l’expérience d’un parcours imprévisible, dont Bagatelle n’est que la première étape, et laissez vous troubler par la rencontre de l’Art et de la Biodiversité.

Entrée 5 EUR, gratuit pour les enfants - De 9 h 30 à 20 h, sauf en octobre : de 9 h 30 à 18 h
Parc de Bagatelle, Route de Sèvres à Neuilly, Bois de Boulogne, 75016 Paris

dimanche 28 mars 2010

“Y A DU MONDE AU LAC”, Biodiversité artistique au bois de Vincennes

Le Lac Daumesnil comme vous ne l’avez jamais vu ! Biodiversité artistique au bois de Vincennes // Land art urbain flottant sur lac parisien.

PARIS LABEL propose “Y A DU MONDE AU LAC” Evènement inédit au Lac Daumesnil // Paris 12e / M° Porte Dorée Flottaisons artistiques et joyeusement pédagogiques du samedi 3 au samedi 10 avril (semaine développement durable).

Programme 1- Paysage flottant : “les ilots fragiles”, oeuvre réalisée par 2 plasticiennes Paule Kingleur et Anne Maurange (bois et balles de ping pong) 2 - Mise à l’eau d’une centaine d’ecoradeaux animaliers réalisés par les enfants des écoles et centres du 12e. + intervention des bûcherons du bois de vincennes pour parler de leur métier et du reboisement. + 100 petits poèmes écrits par les enfants et suspendus dans un arbre : “si j’étais...(une autre espèce)” 3 - Pour finir la semaine en beauté et en (bio)diversité : balade-découverte sur le site du lac daumesnil menée par un animateur nature du CPN, ouverte à tous le samedi 10 avril, avec surprises vivantes + goûter convivial offert sous la frondaison...

Infos : www.parislabel.com/ et www.mairie12.paris.fr

dimanche 12 juillet 2009

Giuseppe Penone, Matrice de Sève et Dessins

À l’occasion de l’inauguration par Madame Christine Albanel, l'entrée du Palais des études de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris restaurée, après deux années de travaux, l’Ecole des beaux-arts a proposé à Giuseppe Penone, artiste internationalement reconnu et professeur depuis 1997, de réaliser, dans cet espace restitué dans son état d’origine, une œuvre monumentale, Matrice de Sève. Le cœur évidé de ce sapin de 40 mètres de long scindé en deux dans sa longueur recueillera une odorante résine d’épicéa. En regard de la sculpture, un choix d’une vingtaine de dessins est présenté dans le cabinet des dessins Jean Bonna.
Jusqu'au 17 juillet 2009.

www.ensba.fr/expositions

mardi 7 juillet 2009

Un jardin éphémère au pied de l'Hôtel de Ville

Le jardin éphémère 2009 a été conçu par le paysagiste Fabrice Yvelin (direction des espaces de vert et de l'environnement). Sur un espace de 3200m2, 11 jardinets mettent en scène un potager, les plantes qui attirent la biodiversité, les techniques du paillage, la fabrication du compost...et toutes les techniques pour jardiner bio. Vous pourrez découvrir comment protéger la biodiversité par la végétalisation des toitures, l'enherbement des pieds d'arbres , les prairies naturelles...
Parvis de l'Hôtel de Ville Métro: Hôtel de Ville Du 13 juin au 14 juillet 2009 de 8h à 20h

jeudi 15 janvier 2009

Nikolay Polissky Land Art - Russia

Du 15/1/2009 au 25/2/2009 à la galerie CM ART (Paris 5e) exposition de photographies des oeuvres de l'artiste russe Nikolay Polissky.
Peintre de formation, Nikolay Pollisky intervient dans le paysage avec d’étranges constructions. Son travail est du Land Art reconstruisant des formes architecturales classiques, écologiques. Ephémères, provisoires, ses installations sont destinées à disparaître. “J’ai compris que la peinture ne m’apportait plus ce que je recherchais. En dessinant et en peignant cet espace, j’ai su qu’il me fallait travailler de façon concrète dans ce lieu bien réel, que c’était là mon atelier, mon laboratoire. Il me semble que l¹art contemporain est trop éloigné du spectacle de la nature, qu’il est trop élitiste. Il s’est enlisé dans des questionnements typiquement urbains.” En Russie Nikolay Polissky s’est installé à la campagne, fait inhabituel pour un artiste dans un pays où tout est centré sur la capitale. Ses installations font l¹événement dans un monde rural exclu de la vie culturelle. Dans la Russie qui se souvient de l¹époque communiste, on aime et on estime l¹artiste qui a toujours refusé de travailler pour l¹État afi n de rester fi dèle à ses convictions artistiques. Polissky se considère comme faisant partie de l¹univers collectif dans lequel il crée ses oeuvres, et non comme un prudent observateur extérieur. Dans ses sculptures monumentales, il crée des symboles spirituels et ironiques de la Russie traditionnelle, pays magnifi que, pays statique, gauche et monumental. Il construit une oeuvre d’art à partir d¹un matériau naturel issu du terroir où il s’installe. Pour lui il est très enrichissant de communiquer avec ceux - issus du même terroir - qui l’ont aidé à bâtir.

www.cm-art.eu

vendredi 28 mars 2008

Les Environnementales 2008

Dix artistes de renommée internationale spécialistes de L’art contemporain « dans » et « avec » la nature sont invités à s’exprimer sur les 120 hectares paysagers du parc de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris à Jouy-en-Josas, une petite ville de renommée internationale en matière d’art contemporain pour avoir longtemps hébergé la « Fondation Cartier ».
Du 13 mai au 11 juillet 2008 les créations inédites, insolites et exigeantes, sont exposées au public, oeuvres auxquelles nos élèves et étudiants, ainsi que nos formateurs, contribuent fortement par leurs savoir-faire, leur énergie, leur disponibilité.
« Les Environnementales », un rendez-vous culturel désormais reconnu, attire tous les publics, du néophyte à l'initié. Les publics scolaires extérieurs sont chaleureusement invités et accueillis avec un encadrement pédagogique fort.

Les artistes 2008: Iain BAXTER (Canada) Agnès et Serge BOTTA (France) Jean-Luc BRISSON (France) Gilles BRUNI (France) Marie DENIS (France) Michel FRANÇOIS (Belgique) Christine O’LOUGHLIN (Australie) Isabelle TOURNOUD (France) NILS-UDO (Allemagne) Dimitri XENAKIS (France)

www.tecomah.fr

Tecohma, les Environnementales